Les éléments traces présents dans le vin proviennent de nombreuses sources : l’eau du sol, les engrais, la pollution atmosphérique, la vinification, l’élevage ou bien l’emballage. Partant de ce constat, Bernard Médina et son équipe de l’Université de Pau et des pays de l’Adour s’est posé la question de savoir si ces éléments traces permettaient de distinguer les vins de Bordeaux authentiques des imitations et contrefaçons.

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