L’étude des linéaires révèle que la majorité de l’offre est constituée par les segments popular premium et premium, proposés entre 2 et 6 €/col selon les pays. On y trouve des VDT de marque, des VDP, certaines AOC et des vins de signatures. Ce sont des vins à consommer jeunes. Simples, souvent mono cépage, séduisants par leurs arômes, leur couleur et leur rondeur. Les nouveaux consommateurs apprécient leur régularité. Ces segments de marché, au cœur de la compétition internationale, font l’objet d’une forte croissance et l’offre française est très attaquée. Sur le marché britannique, la France s’est vue détrônée dans tous les circuits (GMS, cavistes, vente en ligne) par l’offensive des vins du Nouveau Monde, en particulier l’Australie, la Californie et le Chili. Ces pays affichent une croissance importante, encouragés par un cadre de production plus favorable, sans les limites réglementaires européennes (la production australienne a augmenté d’un tiers ces 5 dernières années, les plantations ont fortement progressé en Nouvelle-Zélande, au Brésil), ils bénéficient de rendements viticoles plus élevés, de produits œnologiques multiples et d’industrialisation des procédés… aujourd’hui, l’hémisphère sud réalise 24 % du volume des exportations mondiales de vin, contre 10 % en 2000.
Comment être proactif en matière de qualité du vin ? Focus sur Brettanomyces
Dans cette présentation, Torey Arvik, directeur de la recherche appliquée chez Jackson Family Wines, explique pourquoi il est fondamental d’adopter une approche proactive de la qualité dans les exploitations vitivinicoles, en mettant l’accent sur les Brettanomyces, en s’appuyant sur l’exemple de VERIFLOW® VINOBRETT™ de bioMérieux. VINOBRETT™ a été développé, en collaboration avec Jackson Family Wines, […]
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