Dans cet article sont étudiés les effets de six agents de clarification (albumine d’œuf, albumine de sang, bentonite plus gélatine, charbon, PVPP et gel de silice), ainsi que ceux de la filtration avec filtre en nylon de 0,45 µm sur l’élimination des résidus de quatre fongicides (cyprodinil, fluodioxonil, pyrimethanil et quinoxyfen) dans le vin rouge. L’agent de clarification le plus efficace est l’albumine de sang. Son utilisation présente cependant des inconvénients majeurs, tel que le développement des goûts indésirables et des protéines solubles qui entraînent une opacité. D’après les auteurs, utiliser la bentonite et la gélatine est la meilleure option parce qu’elles réduisent la teneur en cyprodinil, pyriméthanil et quinoxyfen et n’entraînent pas les inconvénients décrits ci-dessus. Pour éliminer le fludioxonil, c’est le charbon qui doit être utilisé suivi de la filtration.
Comment être proactif en matière de qualité du vin ? Focus sur Brettanomyces
Dans cette présentation, Torey Arvik, directeur de la recherche appliquée chez Jackson Family Wines, explique pourquoi il est fondamental d’adopter une approche proactive de la qualité dans les exploitations vitivinicoles, en mettant l’accent sur les Brettanomyces, en s’appuyant sur l’exemple de VERIFLOW® VINOBRETT™ de bioMérieux. VINOBRETT™ a été développé, en collaboration avec Jackson Family Wines, […]
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