L’objectif de l’étude était de comprendre l’élimination de l’ochratoxine A (OTA) par les levures Saccharomyces oenologiques vivantes et mortes (cinq S. cerevisiae et une S. bayanus) de différents milieux synthétiques (YPG), jus de raisin synthétique (SGM) et d’un jus de raisins rouge initialement contaminé avec OTA. Les milieux de laboratoire ont été supplémentés en OTA à une concentration de 2 microg/mL et le jus de raisin rouge était contaminé en OTA à une concentration de 10 microg/L. Chaque milieu a été inoculé à 1% d’une préculture contenant environ 107 CFU mL-1. Un témoin négatif (contaminé en OTA mais sans levures ajoutées) a permis de calculer le pourcentage d’élimination d’OTA. L’ochratoxine A a été détectée et mesurée par une chromatographie liquide sous haute pression à phase inversée. Le pourcentage d’élimination d’OTA par les levures a été compris entre 11 et 45% dans le milieu YPG et entre 1 et 35% dans le SGM selon la souche utilisée. L’absence des produits de dégradation dans les milieux étudiés suggère un mécanisme d’adsorption plutôt que de catabolisme. (Nous vous conseillons la lecture de l’article intégral. Titre original: Ochratoxin A removal in synthetic and natural grape juices by selected oenological Saccharomyces strains)
Comment être proactif en matière de qualité du vin ? Focus sur Brettanomyces
Dans cette présentation, Torey Arvik, directeur de la recherche appliquée chez Jackson Family Wines, explique pourquoi il est fondamental d’adopter une approche proactive de la qualité dans les exploitations vitivinicoles, en mettant l’accent sur les Brettanomyces, en s’appuyant sur l’exemple de VERIFLOW® VINOBRETT™ de bioMérieux. VINOBRETT™ a été développé, en collaboration avec Jackson Family Wines, […]
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