Article issu du Guide de la vinification rhodanienne n°7, juillet 2003 Les vins peu ou pas filtrés sont-ils meilleurs que les autres? La réponse dépend surtout des conditions de conservation en bouteilles. En augmentation depuis quelques années, l’engouement pour les vins non filtrés perdure et a encore de beaux jours devant lui. Si l’argument commercial est indéniable, et dans certains cas, profitable pour la qualité du vin, ce choix technique n’est pas sans conséquence. De plus, la conjugaison avec des teneurs en SO2 de plus en plus faibles conduit à des vins moins protégés à la mise en bouteilles. Certains choisissent de prendre ces risques. Le tout est de les mesurer. Pour évaluer le risque inhérent à de telles pratiques, Inter Rhône a mis en place depuis un an un essai de conservation des vins en conditions expérimentales. En effet, la qualité de filtration des vins et leur mise en bouteilles ont une incidence directe sur leur stabilité biologique ; l’expérimentation s’est orientée vers l’évolution de vins embouteillés, stabilisés et non stabilisés, placés dans des conditions de conservation différentes.
Comment être proactif en matière de qualité du vin ? Focus sur Brettanomyces
Dans cette présentation, Torey Arvik, directeur de la recherche appliquée chez Jackson Family Wines, explique pourquoi il est fondamental d’adopter une approche proactive de la qualité dans les exploitations vitivinicoles, en mettant l’accent sur les Brettanomyces, en s’appuyant sur l’exemple de VERIFLOW® VINOBRETT™ de bioMérieux. VINOBRETT™ a été développé, en collaboration avec Jackson Family Wines, […]
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