Le programme de trois ans et demi intitulé « Mitigation of Climate Change Impacts on the National Wine Industry by Reduction in Losses from Controlled Burns and Wildfires and Improvement in Public Land Management » (atténuation des effets du changement climatique sur l’industrie vinicole nationale par la réduction des pertes dues aux brûlages contrôlés et aux incendies de forêt et par l’amélioration de la gestion des terres publiques) a été financé par Wine Australia et le ministère de l’Agriculture, de l’Eau et de l’Environnement du gouvernement australien dans le cadre de son programme Rural R&D for Profit.

Le projet a travaillé sur de nombreux aspects.Si vous le souhaitez vous pouvez approfondir en lisant l’article complet dont le lien est en bas de page.

Nous attirons ici votre attention sur deux résultats très intéressants et applicables en France. L’adsorption des composés liés aux arômes de fumée sur la peau du raisin est rapide et donc toute tentative de lavage des raisins après une exposition à la fumée est peu susceptible d’avoir un effet significatif.

Il existe une grande variabilité entre les individus dans l’évaluation des attributs sensoriels liés à la fumée dans le vin. Que ce soit au sein d’un panel de dégustation expérimenté et formé ou parmi les consommateurs de vin en général, jusqu’à 20 % des personnes ne peuvent pas percevoir les arômes de fumée dans les vins que d’autres trouvent désagréables.

Source: Wine Australia

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