Traiter mieux pour, si possible traiter moins ». Première règle, utiliser un pulvérisateur de bonne qualité et bien réglé. C’est d’autant plus vrai que la diminution de l’utilisation des intrants phytosanitaires augmente la prise de risque. Néanmoins, il est possible d’aller plus loin. 

Pour cela, l’IFV développe des méthodes et des outils d’évaluation du risque parasitaire permettant d’argumenter objectivement la décision de traiter et le choix de la dose à appliquer.
 
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