La mondialisation du vin remet en cause la géographie viticole mondiale, les modes traditionnels de consommation et les représentations attachées au vin et à son marketing. Les sociétés contemporaines sont marquées par des cultures du boire distinctes où s’affrontent consommation modérée et recherche d’ivresse et d’excès. Enfin l’évolution démographique favorise l’émergence de nouveaux groupes sociaux aux comportements éclatés et fragmentés. Ces changements sont accompagnés d’une préoccupation croissante pour la santé et le bien-être qui se retrouvent dans les comportements alimentaires. Cette évolution rend nécessaire une rupture dans les façons d’aborder le produit vin en tant qu’objet de consommation. L’enjeu du projet VDQA est donc de contribuer à la pérennité de la viticulture française au travers : de l’appréhension des modes et des contextes de consommation émergents de l’acquisition d’un corpus de connaissances et d’outils permettant l’élaboration de produits adaptés à ces nouveaux marchés et enfin de transférer rapidement ces acquis.
Comment être proactif en matière de qualité du vin ? Focus sur Brettanomyces
Dans cette présentation, Torey Arvik, directeur de la recherche appliquée chez Jackson Family Wines, explique pourquoi il est fondamental d’adopter une approche proactive de la qualité dans les exploitations vitivinicoles, en mettant l’accent sur les Brettanomyces, en s’appuyant sur l’exemple de VERIFLOW® VINOBRETT™ de bioMérieux. VINOBRETT™ a été développé, en collaboration avec Jackson Family Wines, […]
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